Se réaliser tel que l'on se connait .

Le milieu dont nous sommes issus participe à notre construction personnelle . Que l'on s'y oppose , que l'on aille dans le sens des projections faites pour nous ou bien que nous nous déterminions nous mêmes ce qui importe c'est la conscience que l'on a de soi .

En conséquence être lucide sur limites et inclinations.

J'aime l'humain , je cherche à articuler mon parcours personnel avec la construction de mon devenir :Au fond mes proches , les personnes avec qui je collabore me reconnaissent pour ma valeur et c'est cela qui compte , certainement pas les désidératas d'un milieu natif qui n'a pour seule cure le fait que je ne me suis pas inscrit dans sa démarche projective.

La dépression m'a fait comprendre cela : j'ai cherché longtemps à composer avec mes capacités et les exigences familiales.

J'ai fait une erreur monumentale j'aurais un doctorat que les choses seraient du pareil au même. Ne dit-on pas que l'amour est une quête perdue d'autant plus lorsque l'on compose avec des milieux dont la vison est stratifiée , rigide et froide?

Faire des erreurs ou pas nous offre des pans d'expérience , avec pour conséquence un recul.

Je reviens de loin , je suis fier de moi , j'aime mes proches , je ne nuirai point à qui que ce soit mais je prendrais de la distance . Ce qui importe c'est d'agir au mieux auprès de l'humain car c'est à cela que je me destine.

J'ai un master d'éducation thérapeutique , une licence en histoire mention sciences humaines je vais terminer par une formation d'écrivain public au CNED pour faire du récit de vie dans un premier temps dans les EPHADS auprès des personnes âgées puis plus tard peut être dans les services plus lourds si j'en ai la carrure. Sans me charger excessivement au risque d'en être affecté par auto jugement , je veux viser au plus juste.